Voyage équitable au Pérou et en Amérique Latine

Un voyage au Machu Picchu au Pérou

Un voyage au Machu Picchu au Pérou

Présentation

Du Machu Picchu au Lac Titicaca, découvrez nos conseils voyageurs pour partir en voyage au Pérou en totale immersion et percer les mystères de la Vallée Sacrée grâce aux secrets de ses habitants !

Avec le Machu Picchu, votre voyage au Pérou fera étape dans l'une des plus belles merveilles du monde.

Perché à 2430 mètres d'altitude, le Machu Picchu est une ancienne forteresse inca érigée au XVè siècle. En quechua, le mot « Machu » signifie vieille, tandis que « Pikchu » renvoie au sommet de la montagne.

C'est donc dans un cadre somptueux, dans lequel la nature s'épanouit pleinement, que se dresse cette majestueuse cité inca, redécouverte en 1911.

Cette cité perdue est la première attraction touristique du Pérou avec 800 000 visiteurs par an. Elle est devenue le symbole Inca le plus célèbre au monde !

A la fois forestier et montagneux, ce site se trouve sur le flanc supérieur du fleuve Amazone, ce qui lui permet de jouir d’une faune et d’une flore extrêmement riches et diversifiées.

Cité créée par les Incas au moment de l’apogée de cette civilisation au XVème siècle, elle comporte de nombreuses terrasses ainsi que des murs de pierre minutieusement assemblés, ayant remarquablement bien traversé les époques.

Abandonnée lors de l’effondrement de l'empire inca (avant la fin de sa construction), cette ville sacrée a été oubliée durant des siècles. Elle est considérée comme étant une œuvre maîtresse de l’architecture inca et mérite amplement sa place sur la liste du Patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1983.

 

Le Machu Picchu au Pérou : un peu d'histoire…

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Notre voyage au Machu Picchu nous plonge entre 1438 et 1471. L'empire inca est dirigé par Pachacutec et la période est plutôt prospère pour le peuple inca. La zone, idéale, est située non loin de la Vallée Sacrée des Incas.

C'est dans ce contexte qu'a vu le jour le Machu Picchu, très certainement après une bataille remportée, dans la région, par les Incas contre les Chancas.

Il fut décidé que le Machu Picchu se distinguerait des cités voisines grâce à ses édifices imposants.

Le Machu Picchu est donc devenu un lieu de vie privilégié pour nombre d'Incas et a connu son apogée entre les XVè et le XVIè siècles.

Puis, vinrent la guerre civile inca et avec elle, en 1534, les conquérants Espagnols désireux de piller les richesses multiples du Machu Picchu, dont l'or, si bien gardé.

On raconte que la forteresse résista plusieurs dizaines d'années face à la conquête des territoires incas par les Espagnols, avant de se vider peu à peu de ses habitants, qui retournèrent vivre dans leurs contrées natales.

Le conquistador Francesco Pizarro assassina le dernier empereur inca. La cité du Machu Picchu, une fois aux mains des Espagnols, tomba peu à peu dans l'oubli. D'abord tributaire du régime des haciendas locales, elle ne prospéra plus dans les années qui suivirent.

Cependant, les terres agricoles ont gardé leurs fonctions, entretenues par des paysans qui n'avaient, eux, pas déserté la zone. L'espace urbain, quant à lui, n'a jamais été occupé et la végétation y a repris ses droits.

 

Visite du Machu Picchu et de ses édifices

 

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Vous remarquerez lors de votre visite que le Machu Picchu rassemble, selon les archéologues, deux zones majeures.

Au sud, la zone dite agricole, faite de terrasses dédiées à la culture. On y entretenait diverses espèces de plantes qui jouissaient d'une bonne exposition.

Ces terrasses vous feront penser à des escaliers géants : un mur de pierre les constitue, ainsi que l'empilement de plusieurs matériaux comme de l'argile et de la roche ; ceci afin de faciliter l'écoulement de l'eau de pluie qui, en trop grande quantité, pourrait ravager les cultures.

Ce système permettait aux habitants de s'alimenter tout au long de l'année.

Plus au Nord, on retrouve la zone dite urbaine. On remarque un mur, long d'au moins 400m, qui sépare les deux zones.

La seconde zone du Machu Picchu a elle-même été séparée en deux parties : le haut et le bas. Historiquement, la zone urbaine était plutôt séparée en quartiers : celui des nobles, celui des ecclésiastiques, le quartier populaire et bien entendu le quartier sacré.

On remarque que la construction du site est le résultat de l'assemblement de pierres plutôt irrégulières, qui sont tenues entre elles avec de la terre.

De plus, vous remarquerez sûrement que tous les édifices du Machu Picchu sont plus larges à la base qu'au sommet.

Voilà un élément important de l'architecture classique inca ! Cela leur permet une meilleure résistance aux séismes.

L'Intihuatana

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Situé dans le quartier sacré consacré au Dieu soleil, l'Intihuatana est une source de fascination pour les visiteurs du Machu Picchu. Le nom de ce monument signifie « le lieu où s'attache le soleil » en quechua.

Les interprétations sur la fonction de ce lieu sont au nombre de deux : on peut penser qu'il s'agit d'un cadran solaire, puisque certaines faces des pierres sont orientées suivant les points cardinaux. Ou bien s'agit-il peut-être d'une imitation qui rendrait hommage à une montagne sacrée…

Le Temple du Soleil

Si le temps de visite vous le permet, vous aurez peut-être l'occasion de visiter le Temple du soleil : à l'intérieur de ce temple, vous reconnaîtrez le seul édifice de forme circulaire au Machu Picchu : il s'agit de la tour ronde. Un bloc de pierre sacré se trouve à l'intérieur du Temple.

On retrouve également, au niveau inférieur, le Temple de la Terre Mère (Pachamama)… qui permettaient aux incas d'accéder au très vénéré « infra monde » où résident leurs ancêtres. L'enchevêtrement et la qualité des pierres y sont impressionnants.

Le Palais Royal (Palacio del Inca)

On y retrouve un hall central assez caractéristique : il mène à plusieurs patios. La construction est remarquable, c'est l'une des plus grandes constructions du Machu Picchu.

Les fontaines

Au Machu Picchu, l'eau revêtait un caractère sacré, en cela qu'on rendait hommage à ses bienfaits naturels. Les fontaines que vous pourrez voir en témoignent.

Au Temple du condor, vous admirerez les ailes de l'oiseau sculptées dans la roche…

 

Un voyage au Machu Picchu différent avec Terres des Andes

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Vous ferez escale au Machu Picchu lors de votre voyage au Pérou organisé par Terres des Andes.

Votre guide spécialiste de la culture inca connaît le Machu Picchu comme sa poche. Il en a étudié l'histoire, les différentes évolutions et bien sûr toutes les richesses culturelles infinies…

Votre visite du Machu Picchu se fera à l'envers du parcours classique effectué par tous les visiteurs.

Vous arriverez dès l'aube, afin de contempler la brume qui se dissipe juste avant le lever du soleil. Cela crée une atmosphère unique au monde...

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Vous éviterez les hordes de touristes et vous visiterez cette cité perdue immergés au plus près d'une nature luxuriante, à plus de 2000 m d'altitude.

A 11h du matin, quand tout le monde arrivera pour visiter les principaux édifices, vous vous trouverez à l'opposé de la foule et pourrez ainsi continuer à profiter pleinement de votre douce balade à travers le Machu Picchu.

A noter : Depuis 2007, le site du Machu Picchu fait désormais partie des Sept nouvelles Merveilles du monde.

Du Machu Picchu à Aréquipa, du Lac Titicaca au canyon de Colca en passant par Cusco, partez en voyage au Pérou en famille et faites vivre une aventure extraordinaire à vos enfants en toute sécurité avec des guides francophones !

Un voyageur raconte : un accès peu connu à Machu Picchu

 

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 "Il n’y a pas longtemps, lors d’un voyage au Pérou, j’ai découvert un itinéraire peu connu pour aller à Machu Picchu.

Devant le prix exorbitant du billet de train depuis Cusco, l’horaire contraignant (arrivée en milieu de journée) et la perspective de devoir attendre le surlendemain pour avoir une place, je me suis mise en quête d’un autre moyen pour me rendre à Aguas Calientes, au pied de la fameuse cité inca.

Pour y aller, pas de liaison aérienne (hormis l’hélicoptère pour les chefs d’Etat…), ni de route. Ou plutôt, si, une route, mais qui au premier abord ne semble ni directe ni pratique puisqu’elle se termine par un sentier à parcourir à pied !

C’est pourtant cet itinéraire que j’ai décidé de suivre, et je n’ai pas eu à le regretter tant les paysages traversés étaient beaux et tranquilles, loin de la cohue des sites touristiques des environs de Cusco."

 

Voyage au Pérou et arrivée dans la Vallée Sacrée

 

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Ce circuit emprunte d’abord la « vallée sacrée » jusqu’à Ollantaytambo, puis traverse une région montagneuse avant de rejoindre une rivière dont on suit le cours par une piste carrossable puis par un sentier qui débouche à Aguas Calientes, le village au pied du Machu Picchu.

Un trajet qui s’effectue en une douzaine d’heures si on circule dans un minibus affrété par une agence de voyages à Cuzco, mais pour lequel il vaut mieux prévoir deux jours si on s’en remet aux autocars locaux.

Que l’on voyage en minibus ou en autocar, il est important de quitter Cuzco tôt le matin de façon à arriver à destination avant la tombée du jour. Avant de déboucher dans la vallée de l’Urubamba, la route passe par le village typique de Chinchero, aux nombreux vestiges incas et coloniaux, mais dont la visite doit être remise à un autre jour, faute de temps ; tout au plus peut-on apprécier les versants aménagés en terrasses et, après Chinchero, le superbe point de vue sur les sommets enneigés de la cordillère Vilcanota.

 

Première étape du voyage : Ollantaytambo dans la Vallée Sacrée des Incas

 

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Deux heures et demi après avoir quitté Cuzco, c’est l’arrivée à Ollantaytambo la première étape du voyage ; là encore, pas le temps de flâner dans cette petite ville, à coup sûr la plus authentique de toute la « vallée sacrée », ni de visiter ses innombrables vestiges incaïques.

Le chauffeur du minibus accorde à ses passagers une pause pour avaler un petit déjeuner avant de repartir, tandis que les touristes faisant le voyage en autocar se rendent à l’arrêt des bus à destination de Quillabamba.

A partir d’Ollantaytambo, situé à 1800 m. d’altitude, la route suit le tracé d’un ancien chemin inca, en direction de l’Amazonie, et on peut d’ailleurs apercevoir de temps à autre des ruines précolombiennes.

Il s’agit d’une route large et asphaltée qui emprunte le fond d’une vallée et s’élève d’abord rapidement, par de nombreux lacets, puis en pente douce jusqu’à atteindre, deux heures plus tard, un plateau et le col de Malaga, à 4300 m.

 

Arrivée au col de Malaga

 

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La route est fréquemment fermée en hiver, de novembre à avril, par suite de tempêtes de neige et de glissements de terrain, mais il arrive que le trafic soit également perturbé le reste de l’année par la pluie ou des chutes de neige tardives.

Au cours de l’ascension du col, chaque lacet est l’occasion de renouveler le panorama qui s’offre à la vue par la fenêtre du bus. Aux bosquets d’eucalyptus succèdent de verts pâturages parsemés d’enclos et de petites maisons en pierre, dont les habitants se consacrent à l’élevage de vaches et de quelques chevaux.

Plus haut c’est le domaine de la puna, avec sa végétation d’arbustes et d’herbes sèches, l’ichu, nourriture de troupeaux de vigognes; la route est bordée de champs de pommes de terre et de quelques fermes d’élevage de moutons ou d’alpacas.

Au col de Málaga sont dressés des baraquements en planches dans lesquels vivent quelques familles de bergers, dans un grand dénuement et confrontées à de rudes conditions climatiques : toute l’année il leur faut supporter un épais brouillard, la neige, le vent, la pluie.

 

Le paysage minéral du col de Malaga

 Toutefois, le col offre à ses habitants l’opportunité de vendre des boissons chaudes aux voyageurs de passage, que ce soit les passagers des véhicules, le temps de laisser les moteurs refroidir, ou les amoureux d’ornithologie, venus spécialement pour observer une exceptionnelle diversité d’oiseaux rares, et pas seulement des condors.

 

Le col de Malaga et ses rares habitants

 

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A proximité du col commence le domaine des neiges éternelles de la cordillère de Vilcanota, dominée par le majestueux mont Veronica, culminant à 5700 mètres d’altitude. A travers la couronne de nuages qui s’accrochent aux sommets, apparaissent des glaciers, d’où s’échappent des torrents et des cascades ; un paysage minéral fait de parois rocheuses et d’éboulis.

 

La Cordillère de Vilcanota depuis le col de Malaga

 

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Une fois franchi le col, la route descend jusqu’au fond de la vallée d’un affluent du rio Vilcanota, à 1200 mètres. Une dénivellation de plus de 3000 mètres, avalée en trois heures de bus.

Cette portion de route semble être particulièrement prisée des amateurs de cyclo tourisme et des adeptes du VTT, qui se font déposer au col avec leur vélo pour ensuite dévaler la pente, parfois en empruntant des sentiers abrupts.

 

Quelques lacets dans la descente après le col de Malaga

 

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La route aussi suit d’abord une pente assez raide, d’où de nombreux lacets, puis la pente s’adoucit jusqu’à la petite ville de Santa Maria, au bord du rio Vilcanota (ce même fleuve est appelé Urubamba dans la région de Cuzco, et en aval il devient l’Amazone).

 

La descente vers Santa Maria

 

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La descente donne l’occasion d’apprécier le réchauffement de l’air et l’étagement de la végétation, d’abord rabougrie en milieu montagnard avant de laisser la place à des cultures tropicales (orangers, manguiers, caféiers, bananiers, cacaoyers).

Tout le long, des hameaux et des buvettes en tôle jalonnent la route. De gros travaux de voirie entrepris sur le dernier tronçon freinent la circulation.

Située au carrefour de plusieurs routes et à la jonction de l’Amazonie et des Andes, à 1200 mètres d’altitude, Santa Maria n’offre pas d’intérêt pour le touriste mais peut se révéler bien commode pour les voyageurs venus en autocar, contraints d’y passer la nuit s’ils sont arrivés trop tard pour trouver une camionnette qui les mènera à l’usine hydroélectrique de Santa Teresa, d’où part le chemin pour Machu Picchu.

Plusieurs habitants proposent leurs services pour effectuer ce parcours en voiture, ce qui prend près de deux heures. La route est une piste caillouteuse qui remonte le cours du rio Vilcanota-Urubamba jusqu’au bourg de Santa Teresa.

Arrivée à Santa Teresa, entre Santa Maria et Santa Teresa : la piste surplombre l'Urubamba

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On peut conseiller aux touristes disposant de temps de faire un détour par les thermes de la ville, où ils trouveront 4 bassins aménagés, vidés et nettoyés tous les matins, avec de l’eau à différentes températures et une aire de camping.

Les 15 km entre Santa Maria et Santa Teresa s’effectuent en plus d’une heure sur une piste très impressionnante : taillée à même la paroi, elle surplombe la rivière avec des à-pic vertigineux, sans le moindre parapet, ce qui en fait une route réputée pour être parmi les plus dangereuses.

 

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En arrière plan, une végétation sèche et des montagnes abruptes et pelées, mais aussi un superbe point de vue sur le Salkantay, montagne sacrée des incas, qui culmine à 6300 mètres.

Après Santa Teresa, il reste encore 6 km de piste avant d’atteindre l’entrée des gorges de l’Urubamba, terminus de la route, où se trouve une centrale hydro électrique que l’on devine de loin au bouillonnement des eaux qui jaillissent d’un tunnel creusé au pied de la montagne.

A côté se trouve une petite gare ferroviaire.

En arrivant avant 16 h.30, il est possible de prendre le train qui va tous les jours à Aguas Calientes, le village le plus proche du Machu Picchu. Le voyage dure une demi-heure et le billet se prend au guichet de la gare (comme partout au Pérou, le tarif est différent selon que l’on est péruvien ou étranger).

 

La promenade à pied jusqu'à Aguas Calientes, d'où partent les bus pour Machu Picchu

 

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Depuis la gare, on peut aussi gagner Aguas Calientes en marchant pendant près de 3 heures le long de la voie ferrée. Une jolie ballade d’une douzaine de km, sur un sentier plat et bien entretenu. Le chemin suit d’abord la berge de droite du torrent puis un pont de chemin de fer le fait passer sur l’autre rive de l’Urubamba.

 

Le sentier contourne la montagne de Machu Picchu

 

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La vallée est étroite et l’on marche à l’ombre, au pied d’un versant abrupt au sommet duquel se trouve Machu Picchu, 700 mètres plus haut.

Le long du chemin, quelques bananiers et caféiers et quelques rares petites maisons. Une heure avant d’atteindre Aguas Calientes, les « jardins de Mandor » offrent au touriste peu pressé d’aller à Machu Picchu un gîte dans un joli cadre ; un peu plus loin, une cascade invite également à faire une halte.

 

Nous longeons la rivière Urubamba

 

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Enfin, peu avant d’arriver à Aguas Calientes un petit musée et un jardin botanique sont ouverts à la visite jusqu’à 17 heures.

Il n’y a aucune difficulté à trouver à se loger à Aguas Calientes, tant les hôtels sont nombreux. Les touristes venus depuis Cuzco dans le minibus d’une agence de voyages n’ont même pas à se mettre en quête d’une chambre car le prix qu’ils ont payé comprend l’hébergement dans une pension et les services d’un guide depuis la centrale hydroélectrique – ce qui n’est pas nécessaire car on ne peut pas s’égarer en suivant la voie ferrée.

 

Un itinéraire encore peu connu jusqu'à Machu Picchu

 

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Cet itinéraire pour aller de Cuzco à Machu Picchu, quoique encore peu connu, est de plus en plus emprunté par des voyageurs rebutés par le coût très élevé du billet de train, la nécessité de réserver sa place à l’avance et la cohue à la gare.

Des travaux récents ont rendu la route très praticable jusqu’à Santa Maria, et les 220km séparant cette localité de Cuzco peuvent être parcourus en minibus en moins de six heures.

Les paysages superbes que l’on traverse peuvent également encourager les touristes à emprunter cet itinéraire qui prendra au total une dizaine d’heures pour ceux ayant opté pour la formule proposée par les agences de voyages.

Pour les autres, le voyage pourra également s’effectuer dans la journée s’ils ont la chance de ne pas avoir à attendre au moment des changements d’autocars.

 

Cliquez pour découvrir en vidéo les guides Terres des Andes qui vous feront visiter le Machu Picchu :

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