01/03/2017
2 hommes ordinaires pour 1 défi extraordinaire !
Greg et Jul n’ont rien de 2 cyclistes. Pourtant, ces 2 amis de longue date se sont lancé un défi incroyable au cap de la trentaine : traverser la Cordillère des Andes à vélo ! Partis en octobre 2013 d’Ushuaïa (Argentine), ils sillonnent depuis les routes d’Amérique du Sud et espèrent rejoindre Carthagène des Indes (Colombie) à la fin du mois d’août. Leur projet, qui a pour nom Les coqs en selle, est autofinancé à 100% et visiblement ils sont très bien partis pour réaliser leur rêve. «Avec ambition et humilité».
Leur itinéraire
Ils ont déjà traversé les sites les plus prestigieux d’Amérique du Sud :
- la cité Inca du Machu Picchu,
- les plaines de Patagonie (Glacier Perito Moreno, Parc Torres del Paine, Mont Fitz Roy…),
- ses lacs majestueux (Titicaca, Route des lacs argentins…),
- les sommets de l’Altiplano bolivien et péruvien, ainsi que le plus haut sommet des Amériques (Aconcagua, qui culmine à 6 962 mètres),
- ses déserts (Atacama, Désert de Sel d’Uyuni…),
- des routes parmi les plus belles du monde (Carretera Austral au Chili, Sud Lipez en Bolivie, Ruta 40 et la Route des vins en Argentine…),
- ses villes les plus intéressantes d’un point de vue culturel et historique (Valparaiso, Sucre, Cusco, Buenos Aires…).
- la cité Inca du Machu Picchu,
- les plaines de Patagonie (Glacier Perito Moreno, Parc Torres del Paine, Mont Fitz Roy…),
- ses lacs majestueux (Titicaca, Route des lacs argentins…),
- les sommets de l’Altiplano bolivien et péruvien, ainsi que le plus haut sommet des Amériques (Aconcagua, qui culmine à 6 962 mètres),
- ses déserts (Atacama, Désert de Sel d’Uyuni…),
- des routes parmi les plus belles du monde (Carretera Austral au Chili, Sud Lipez en Bolivie, Ruta 40 et la Route des vins en Argentine…),
- ses villes les plus intéressantes d’un point de vue culturel et historique (Valparaiso, Sucre, Cusco, Buenos Aires…).
« Alors les Coqs en selle, racontez-nous où êtes-vous actuellement ?
Nous venons d’arriver au sud de l’Equateur, précisément à Guayaquil, passant presque du jour au lendemain d’un climat très sec et aride à un climat tropical chaud et humide. Avant de rejoindre les fameux marchés colorés sur les hauteurs de la capitale équatorienne, Quito, nous allons passer par les magnifiques plages de la côte, en particulier Montañita et Canoa. Nous transiterons également par Puerto Lopez, d’où nous prendrons le bateau pour voir les baleines (c’est la meilleure saison!) et faire une escale à la Isla de la Plata, qu’on pourrait qualifier de petite ‘Galapagos’.
Pourquoi avoir fait le choix du vélo pour un tel voyage ?
Au-delà du défi sportif que cela représente*, les coqs en selle préfèrent mettre en avant 3 dimensions principales:
- Economique : Pas besoin de carburant, d’hébergement ni de restaurant. Nous avons tous les deux chacun notre tente pour dormir à la belle étoile, ainsi que tout le matériel nécessaire pour cuire notre nourriture (réchaud à essence, vaisselle) et filtrer/purifier notre eau;
- Social et culturel : le vélo est un moyen de locomotion universel et immersif, nous nous rendons compte désormais que voyager de la sorte éveille bien souvent la curiosité et la sympathie des gens. En ce sens, il est facilitateur de rencontres et nous permet de nous immerger d’autant plus facilement dans les cultures locales;
- Environnemental : dans la préparation de notre projet, nous avons rédigé une charte éthique et de développement durable pour traduire nos valeurs en engagements : utilisation de sources d’énergies alternatives (chargeur solaire et dynamo), gestion des déchets ;
- Solidaire : avant de partir, nous avons réalisé une collecte de dons sur la base 1km = 1 € au profit de l’ONG « Enfants des Andes » de Nasca dont le succès a dépassé nos attentes. Une action locale, concrète et mesurable !
- Sain et pratique : facile à stationner, agréable et le plus important, cela nous permet de voyager à notre rythme, en prenant le temps de nous arrêter quand on le décide et de profiter de l’instant et des paysages. On est parfois frustré de ne pas pouvoir s’arrêter lorsque l’on voyage en bus ou en groupe. L’air est pur dans les Andes alors quel meilleur moyen de locomotion pour en profiter !
Nous venons d’arriver au sud de l’Equateur, précisément à Guayaquil, passant presque du jour au lendemain d’un climat très sec et aride à un climat tropical chaud et humide. Avant de rejoindre les fameux marchés colorés sur les hauteurs de la capitale équatorienne, Quito, nous allons passer par les magnifiques plages de la côte, en particulier Montañita et Canoa. Nous transiterons également par Puerto Lopez, d’où nous prendrons le bateau pour voir les baleines (c’est la meilleure saison!) et faire une escale à la Isla de la Plata, qu’on pourrait qualifier de petite ‘Galapagos’.
Pourquoi avoir fait le choix du vélo pour un tel voyage ?
Au-delà du défi sportif que cela représente*, les coqs en selle préfèrent mettre en avant 3 dimensions principales:
- Economique : Pas besoin de carburant, d’hébergement ni de restaurant. Nous avons tous les deux chacun notre tente pour dormir à la belle étoile, ainsi que tout le matériel nécessaire pour cuire notre nourriture (réchaud à essence, vaisselle) et filtrer/purifier notre eau;
- Social et culturel : le vélo est un moyen de locomotion universel et immersif, nous nous rendons compte désormais que voyager de la sorte éveille bien souvent la curiosité et la sympathie des gens. En ce sens, il est facilitateur de rencontres et nous permet de nous immerger d’autant plus facilement dans les cultures locales;
- Environnemental : dans la préparation de notre projet, nous avons rédigé une charte éthique et de développement durable pour traduire nos valeurs en engagements : utilisation de sources d’énergies alternatives (chargeur solaire et dynamo), gestion des déchets ;
- Solidaire : avant de partir, nous avons réalisé une collecte de dons sur la base 1km = 1 € au profit de l’ONG « Enfants des Andes » de Nasca dont le succès a dépassé nos attentes. Une action locale, concrète et mesurable !
- Sain et pratique : facile à stationner, agréable et le plus important, cela nous permet de voyager à notre rythme, en prenant le temps de nous arrêter quand on le décide et de profiter de l’instant et des paysages. On est parfois frustré de ne pas pouvoir s’arrêter lorsque l’on voyage en bus ou en groupe. L’air est pur dans les Andes alors quel meilleur moyen de locomotion pour en profiter !
Un petit mot de la fin ?
Oui on veut simplement dire qu’on est vraiment très heureux et fiers de ce que l’on a déjà réalisé depuis le début de notre périple. Venez partager la fin nos aventures avec nous sur… Les coqs en selle
* En bref : 15 000 km dont 10% de chemins (de sable, de terre ou de cailloux), 30 cols entre 4 et 5 000 m d’altitude, ainsi que des variations climatiques de -20° à 45°C… (ndlr)
Oui on veut simplement dire qu’on est vraiment très heureux et fiers de ce que l’on a déjà réalisé depuis le début de notre périple. Venez partager la fin nos aventures avec nous sur… Les coqs en selle
* En bref : 15 000 km dont 10% de chemins (de sable, de terre ou de cailloux), 30 cols entre 4 et 5 000 m d’altitude, ainsi que des variations climatiques de -20° à 45°C… (ndlr)
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